Hello Julie, peux-tu te présenter et nous dire comment tu as découvert ton sport ?

Je m'appelle Julie, j'ai 42 ans et je vis dans le Pas-de-Calais. J’ai découvert la course à pied un peu par hasard, en suivant mon mari lors de ses sorties. Ce qui m’a tout de suite marquée, c’est l’ambiance incroyable qu’il y avait pendant les courses. Cette énergie, cette bienveillance entre coureurs… ça m’a donné envie de me lancer à mon tour, il y a maintenant quatre ans.

Qu’est-ce qui t’a poussé à aller plus loin que la simple pratique de loisir ?

Pour moi, ça reste avant tout un loisir. Je cours pour le plaisir, pour profiter de la nature et pour me sentir vivante. Mais j’aime aussi me lancer des petits défis, me dépasser, aller un peu plus loin à chaque fois… sans pression, juste pour moi.

À quoi ressemble une journée type dans ta vie d’athlète ?

Je n’ai pas vraiment de journée type, mais en général, j’essaie de courir le matin avant d’aller travailler. C’est le moment où je me sens le plus en forme et où je peux profiter d’un instant rien qu’à moi.

Comment arrives-tu à concilier entraînements, récupération, vie sociale et travail ?

Comme je cours une à deux fois par semaine, tout est une question d’organisation. En semaine, je cale mes séances selon mon emploi du temps, et le week-end, je privilégie une sortie longue. Cela me permet de garder un bon équilibre sans empiéter sur le reste.

Qu’est-ce qui te motive à continuer, même dans les moments difficiles ?

Ce qui m’aide, c’est de varier les plaisirs. Quand la motivation baisse, je change d’activité : un peu de natation, de la marche ou du vélo… Ça me permet de rester active tout en cassant la routine

As-tu un rituel ou une routine particulière avant une compétition importante ?

Pas de rituel particulier. Justement, je préfère ne rien changer à mes habitudes pour éviter les mauvaises surprises. La simplicité me rassure.

Quels sont tes objectifs actuels, à court ou long terme ?

Mon objectif à court terme, c’est le 50 km de l’UTMB à Nice, prévu en septembre. C’est un beau challenge que j’ai hâte de relever !

Quel a été ton plus grand défi depuis le début de ton parcours sportif ?

Sans hésitation, l'Écotrail de Paris. Courir 80 kilomètres a été à la fois mon plus grand défi et ma plus grande fierté. Une aventure intense, exigeante, mais aussi incroyablement enrichissante.

Comment gères-tu la pression en compétition ou lors des périodes de moins bonne forme ?

Je ne ressens pas vraiment de pression. Je fais tout ça par plaisir, par envie. Je veux que ça reste fun, sans prise de tête. Et si un jour ça ne se passe pas comme prévu, ce n’est pas grave

L’alimentation est-elle une part essentielle de ta préparation ?

Oui et non. J’essaie d’avoir une alimentation équilibrée au quotidien, sans excès ni privation. Je mange de façon saine de manière assez naturelle, sans me prendre la tête.

Suis-tu un protocole alimentaire spécifique selon les périodes d’entraînement ?

Non, je ne suis pas de protocole particulier. J’écoute simplement mon corps et j’adapte si besoin, mais rien de très strict.

Quelle place accordes-tu à ton bien-être physique et mental dans ta pratique sportive de haut niveau (yoga, récupération, massages, préparation mentale, méditation...) ?

Je pratique un peu de pilates, et quand j’en ai l’occasion, je profite aussi de massages, que ce soit pour la récupération ou pour stimuler la circulation lymphatique. C’est quelque chose que j’essaie d’intégrer quand mon emploi du temps me le permet.

Est-ce que tu travailles avec des professionnels (nutritionniste, préparateur mental, kiné, etc.) ?

J’ai déjà eu recours à un kiné à plusieurs reprises, notamment en cas de petits bobos, mais en ce moment, je ne travaille avec aucun professionnel en particulier.

Quels conseils donnerais-tu à un jeune athlète qui souhaite performer durablement dans son sport ?

Ouh là, ce n’est pas évident à dire ! Je ne suis pas sûre d’être la mieux placée pour donner des conseils… Mais je dirais qu’il est essentiel de garder la passion du sport avant tout. C’est cette passion qui te porte et te fait avancer, même dans les moments plus difficiles.

À quel moment de ta pratique sportive consommes-tu des produits Nüttree (avant, pendant ou après l’entraînement, en collation, etc.) ? Et combien ?

Ça dépend de mes sorties trail, mais en général j’en prends entre 2 et 4. J’aime bien alterner entre les versions sucrées et salées, selon mes envies et l’intensité de l’effort.

Quel est ton parfum d’energy-balls préféré ?

J’ai eu un vrai coup de cœur pour les parfums framboise-cassis et tomate-poivron. Deux ambiances très différentes, mais tellement efficaces selon le moment !